Les tatouages sont de véritables œuvres d’art et sont portés pour orner la peau d’un individu pour toujours ! Cependant, les états d’esprit changeants conduisent souvent à un désir de supprimer cette connexion. Par exemple, une vieille peinture d’amour de flamme qui était une très bonne idée il y a quelques années est un peu gênante aujourd’hui. De telles situations soulèvent la question : « Comment enlever un tatouage ? » Voici quelques différentes façons d’enlever les tatouages.
Le laser et les lasers picosecondes
La technique de détatouage numéro un depuis 20 ans est le détatouage au laser. S’agissant d’un acte médical, il doit être réalisé par un médecin et consiste à dissoudre les gouttelettes d’encre présentes sur la peau en microgouttelettes. Le but est de les rendre aussi petits que possible afin qu’ils soient naturellement éliminés du corps. Aujourd’hui, le laser est devenu l’une des méthodes de détatouage privilégiées, car c’est la moins nocive pour la peau, la moins douloureuse, et beaucoup plus efficace. Actuellement, les dermatologues utilisent principalement deux catégories de lasers pour effacer ou réduire les tatouages. En effet, les lasers picosecondes ont des temps d’exposition beaucoup plus courts que les lasers Q-switch, permettant à une puissance plus élevée de fragmenter plus efficacement le pigment de tatouage sans générer de chaleur, réduisant ainsi le temps entre les séances. La décomposition du pigment en particules plus fines facilite également la tâche de lavage des macrophages, permettant de raccourcir un intervalle entre deux séances de 8 semaines à 6 semaines. L’utilisation de lasers picosecondes nécessite pareillement moins de séances et il semble plus efficace pour les tatouages colorés.Pour un detatouage picosure et un detatouage picosure résultat, suivez ce lien.
Le laser déclenché ou « Q-switched »
Les lasers à commutation Q sont une technologie utilisée depuis 20 ans pour enlever des tatouages. Ce sont des lasers de type KTP ou Nd-Yag, Alexandrite. Le faisceau laser déclenché produit des impulsions de haute puissance et de courte durée d’un ordre de 5 à 60 nanosecondes qui fragmentent le pigment de tatouage tout en réduisant des brûlures du tissu sain autour du tatouage. Cette envie peut encore produire une sensation de brûlure. Deux séances sont nécessaires dans 8semaines au plus tard pour permettre aux cellules macrophages cutanées d’éliminer les pigments fragmentés et permettre à la peau de cicatriser correctement. La longueur d’onde de Q-Switched ne peut pas gérer toutes les couleurs d’encre qui peuvent résister au détatouage, en particulier le jaune, le turquoise et le vert. Même les pigments très profonds sont difficiles à atteindre avec le type d’équipement. Les lasers Q-switch ne conviennent pas aux peaux foncées ou foncées, car le risque d’hyperpigmentation est trop élevé. Après 15 séances de laser, quelle que soit la couleur de la peau, la zone traitée est plus sensible que le reste de la peau qui est souvent blanche.
La chirurgie, le cover et le détatouage chimique
À l’aide d’une intervention chirurgicale simple réalisée directement sur la peau, généralement sous anesthésie locale, selon les dermatologues, si le tatouage est très petit, posé sur une zone charnue, souple, et à risque de cicatrisation, il peut être retiré. Entraînement. L’ablation chirurgicale est à la discrétion du médecin, et seul le médecin peut déterminer si la cicatrice est trop visible. Le cover est une technique qui consiste à recouvrir les tatouages que vous ne voulez pas enlever… un autre tatouage que vous préférez. Cependant, gardez à l’esprit que le nouveau tatouage doit être deux à trois fois plus grand que les tatouages précédents afin de le recouvrir entièrement et doit être réalisé avec un pigment plus foncé que l’original. Certains salons de tatouage et salons de beauté proposent des séances du détatouage chimiquement destructrices. Le procédé consiste à injecter des produits chimiques dans le derme afin de stimuler une réaction et libérer de l’encre pour effacer le tatouage. En fait, ces méthodes ont été développées à la fin du 19ème siècle pour « effacer » les tatouages des prisonniers. Cela se faisait généralement de manière amateur sans utiliser de dermographe.
